Le 4 août dernier, le célèbre DJ Calvin Harris a annoncé la naissance de son fils Micah sur Instagram. Parmi les clichés attendrissants de l'accouchement à domicile et du nouveau-né, une photo a particulièrement interpellé : celle du placenta de la mère, fraîchement expulsé, cuit à la vapeur, puis transformé en gélules. Une image déroutante, qui relance le débat sur cette pratique de plus en plus médiatisée.
Popularisée par des célébrités à l'instar de Kim Kardashian, la consommation de placenta – aussi appelée placentophagie – divise. Si, dans le monde animal, cette habitude est répandue (la majorité des mammifères mangent leur placenta), elle reste marginale et controversée chez l'être humain. Pourtant, certaines femmes disent ressentir un besoin profond de consommer cet organe, pour renforcer leur lien avec leur bébé ou combattre les effets du post-partum, comme la fatigue ou la dépression.
Cru, cuit, rôti ou en smoothie…Symbole fort pour certaines, espoir de guérison naturelle pour d'autres, la « placentophagie » intrigue. Aujourd'hui, il est possible de le consommer de différentes manières : cru, cuit, rôti, en smoothie, en teinture, ou encore déshydraté et encapsulé.
Cette dernière méthode est la plus répandue, notamment depuis qu'en 2006, l'Américaine Jodi Selander l'a démocratisée après avoir cherché une alternative naturelle aux traitements contre la dépression post-partum. Dix ans
... Source LePoint.fr
0 commentaire
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Signaler le commentaire
Fermer